Depuis la création de la Jungle de Calais, de nombreux commerces illégaux tenus par des clandestins ont émergé.
De « l’Afghan Shop » vendant des spécialités culinaires afghanes au magasin d’alcool en passant par le coiffeur afro et la boîte de nuit sub-saharienne, tout y est. Illégalement et à la vue de tous, ces commerces ont plusieurs fois suscité la polémique et exaspèrent la population calaisienne qui ne supporte plus le laxisme des autorités publiques à leur égard. A la demande d’administrés et des services compétents, les commerces illégaux devaient prochainement être fermés. Mais c’était sans compter sur la complaisance des tribunaux – plus précisément du Tribunal administratif de Lille – qui a annulé la fermeture de ces commerces. Jean-François Molla, juge des référés, n’habitant sûrement pas à Calais, estime que, malgré l’illégalité la plus totale de ces commerces et l’insalubrité qui y règne, les clandestins ont le droit d’en bénéficier. Alors que la chasse au « mauvais français » bat son plein en France, les clandestins, aussi nombreux et nuisibles soient-ils ont tous les droits. Nous réitérons notre volonté de vouloir fermer ces commerces illégaux et d’expulser définitivement ces délinquants du territoire national. Kévin Reche, délégué du Parti de la France pour le Calaisis

La Grand-Combe : quand l’immigration tue, la gauche accuse la France
Qui aurait cru qu’un jour La Grand-Combe, ce petit bourg du Gard, aurait sa propre mosquée ? Ce simple fait est déjà un...
0 commentaires