Macron, de l’arnaque à l’inaptitude : le Parti de la France, seule alternative

4 Sep 2018 | Editorial | 0 commentaires

Croissance en berne, inflation en hausse, reprise des mouvements sociaux, menace de bugs multiples sur la mise en œuvre de l’impôt à la source, cacophonie gouvernementale, couacs en série, démission de Nicolas Hulot, investigations judiciaires à l’encontre du Secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler et de l’encore, au moment où nous écrivons, ministre de la Culture, Françoise Nyssen, suite de l’affaire Benalla, montée de l’insécurité et des actes de barbarie, crise européenne sur fond de submersion migratoire…

Rien ne va plus pour Emmanuel Macron qui en un an, aura épuisé toutes les ressources des Institutions de la Ve République pour tenter de donner corps à une Présidence acquise par une arnaque électorale.

On ne s’improvise pas Président de la République. Macron qui se voulait Jupiter n’était en vérité que Dolos, esprit mineur de l’illusion et de la duperie.

Le macronisme, nous l’avons dit est bien une escroquerie. C’est aussi une inaptitude.

  • Inaptitude au pouvoir comme le montre son incapacité à prendre à bras-le-corps les grands problèmes du pays.
  • Inaptitude à l’autorité comme le montre son impuissance face aux désordres répétés de sa majorité.
  • Inaptitude à incarner la fonction présidentielle comme le montrent ses dérapages verbaux (« Ceux qui ne sont rien », « Lèpre populiste », « Ces fainéants », « Les illettrés ») et son inclinaison vers l’abaissement national (l’Élysée transformée en boîte de nuit techno-racaille).
  • Inaptitude à comprendre les Français et à aimer la France comme en témoigne sa sortie méprisante envers les « Gaulois réfractaires ».
  • Inaptitude surtout à entrevoir la réalité douloureuse de la France et à prendre les solutions qui s’imposeraient pour l’en extraire.

Il est vrai qu’à l’inaptitude s’ajoute pour lui comme pour tous ses prédécesseurs l’appartenance fondatrice et inaliénable au Système et la reconnaissance due à ceux qui l’ont fait élire, puissances d’argent et de l’ordre mondial.

Face aux menaces extrêmes qui pèsent sur notre pays et sur notre civilisation, l’impuissance et l’inaptitude d’un Président sont des éléments constitutifs de crimes contre la Nation et contre l’État.

Aucune force politique n’est pourtant aujourd’hui en capacité de s’opposer au processus de décomposition organique qui est à l’œuvre.

Cette force nouvelle, puissante et radicale, il nous appartient de la déclencher.

Le Parti de la France est encore électoralement faible ? C’est vrai. Il ne dispose que de structures modestes ? C’est vrai. Ses moyens sont limités ? C’est vrai. Les médias ne le « calculent » pas ? C’est vrai.

Mais nous sommes quelques-uns à nous souvenir que, un an avant son émergence, le Front National ne dépassait guère les 1 % lors des scrutins auxquels il participait, que moins de cinq cents adhérents étaient à jour de cotisation et que son accès aux médias était quasiment nul.

Mais le Front avait sa foi militante. Sa ligne droite et juste. Son chef, Jean-Marie Le Pen.

Nous avons, intacte, notre foi politique. Intacte la détermination de nos militants. Intactes la lucidité et la clarté d’analyse qui a toujours été la marque sigillaire de la Droite nationale. Intacte notre volonté française et européenne.

Et nous avons Carl Lang.

Ce qui fut sera… Mais cette fois pour l’emporter.

Jean-François Touzé – Délégué national du Parti de la France aux études et argumentaire

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