Comme prévu, on a droit à la grande foire de l’extrême gauche dégénérée. Leur slogan « Bloquons tout ! » ? Traduction : foutons le bordel, cassons, brûlons, emmerdons les Français qui bossent et paient leurs impôts. Dans les rues, c’est le défilé habituel : élus et militants LFI, syndicalistes communistes, punks à chien crasseux, antifas demeurés, black-blocs enragés… Bref, le zoo au complet.
Ces types ne construisent rien, ils ne produisent rien, ils ne savent que brailler, salir, dégrader, vandaliser. Ils se prétendent « anticapitalistes » mais vivent de nos impôts, de nos allocs, de notre sueur. Des parasites, voilà ce qu’ils sont. Et en plus, ils se croient révolutionnaires parce qu’ils viennent casser du mobilier urbain et piller des magasins, le visage planqué sous une capuche. Clowns pitoyables.
Pendant ce temps, le Français moyen, lui, trime, rame pour nourrir sa famille et doit supporter que ces cloportes bloquent les routes, les transports et dégradent encore un peu plus nos villes déjà saccagées par l’invasion migratoire.
Ce qui est révoltant, c’est la complaisance permanente dont ils bénéficient. Quand c’étaient les Gilets jaunes, on envoyait les CRS avec la consigne de tirer dans le tas, de gazer, d’éborgner, de matraquer sans pitié. Mais pour ces petits voyous rouges-noirs, l’indulgence est, semble-t-il, de rigueur.
Eh bien non, ça suffit ! Qu’on leur rentre dans la gueule, qu’on les dégage sans ménagement et qu’on leur colle enfin des peines exemplaires. La racaille gauchiste doit être traitée comme la racaille tout court : fermeté, prison, basta.
La France n’a pas à subir la dictature de ces fainéants haineux. Leur « révolution », c’est juste le chaos et la chienlit.
Thomas Joly – Président du Parti de la France

Des blocages hexagonaux aux révoltes himalayennes
Quel étrange parallèle nous offre aujourd'hui l'actualité. Tandis qu'en France les mêmes crassouilloux habituels...
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