Manuel Valls est interrogé sur RTL par un auditeur (qui n’est autre que Christophe Devillers, Délégué régional du PdF pour la Franche-Comté) sur les dissolutions prononcées à l’encontre de l’extrême droite, suite à l’affaire Méric.
Le Premier ministre fait preuve d’une grande mansuétude en bottant en touche au sujet de l’extrême gauche. Il s’interdit même d’en prononcer le nom.

1er mai 2025 : le discours de Thomas Joly
Le texte de ma prise de parole jeudi 1er mai 2025 à Paris, place saint Augustin : « Nous sommes réunis ici, comme chaque...
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