Le premier ministre britannique doit détailler ce mardi ses exigences de réformes de l’UE dans une lettre au président du Conseil européen Donald Tusk.
Alors que les négociations avec ses partenaires européens se précisent, David Cameron semble tenir un discours moins hostile à l’Union européenne. S’exprimant devant le patronat britannique hier matin, dans le cadre du congrès annuel du CBI, le premier ministre a tenté de ménager les pro et les antieuropéens en s’attaquant aux arguments «ineptes» brandis dans chacun des camps. Mais le chef du gouvernement a tenu un discours globalement très pragmatique et anti-Brexit.
source : le figaro.fr

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