Triomphe électoral surprise en Argentine : « La Libertad Avanza », le mouvement fondé il y a à peine quatre ans par Javier Milei, vient d’écraser ses adversaires péronistes avec 40 % des voix contre à peine 25 %. Les médias mondialistes, prompts à prédire sa chute, en sont pour leurs frais : c’est un véritable raz-de-marée populaire.

Mais ce triomphe politique n’est que la conséquence d’un succès économique retentissant. En deux ans, Milei a redressé une Argentine exsangue : inflation ramenée de 150 % à moins de 20 %, pauvreté réduite de 30 %, croissance dépassant 5 % par an. Une performance que même ses détracteurs ne peuvent nier.

Ce que Milei a incarné, c’est un mot d’ordre : ¡ AFUERA ! – DEHORS ! Dehors les parasites, dehors la bureaucratie, dehors l’État obèse qui étouffe l’initiative et la liberté. L’Argentine revit parce qu’elle a osé rompre avec la logique d’assistanat et de corruption qui l’avait ruinée depuis Péron.

La France d’aujourd’hui, engluée dans les mêmes maux – fiscalité asphyxiante, fonction publique hypertrophiée, élites déconnectées – aurait tout à gagner à s’inspirer du modèle Milei.
Redonner la liberté, réduire l’État, rendre la dignité au travail.

¡ Viva la Libertad, carajo ! (vive la Liberté, bordel !)

Jason Cazaurang de Basterrica – Membre du Conseil National du Parti de la France