En Roumanie, une farce électorale vient de s’achever avec, une fois de plus, la victoire des laquais de Bruxelles. Le peuple roumain, humilié, voit son choix confisqué, une fois de plus. George Simion, le seul à parler le langage de la terre et du sang (après l’exclusion injustifiée de Georgescu), a été trahi non pas par son peuple, mais par un système pourri jusqu’à la moelle, téléguidé par les loges et les chancelleries étrangères.
Ce n’était pas des élections. C’était un théâtre. Une mise en scène grotesque où l’ennemi, camouflé sous les oripeaux de la démocratie, sabote, manipule, écrase. Le résultat était écrit à l’avance. Et les bulletins n’étaient que des confettis jetés aux chiens du pouvoir.
Pavel Durov, patron de Telegram, a révélé avoir été approché par les autorités françaises pour faire taire le peuple roumain sur Telegram, ce qu’il a refusé. Cette ingérence française n’étonnera personne.
En Pologne, là aussi, l’Histoire bégaie. Les marionnettes mondialistes, ont raflé le premier tour. Une bande de technocrates creux, pleins de promesses vides et de slogans formatés, prêts à vendre Varsovie pour une poignée d’euros, quelques sourires à Bruxelles et un « enrichissement » multiculturel.
Mais le vent tourne. Sous les cendres de la trahison, la braise gronde encore.
Et pour preuve, nous constatons et saluons la percée historique de la droite nationale au Portugal pour les législatives, le peuple portugais commence à se réveiller et cela ouvre la voie à un avenir encourageant.
Avec le Parti de la France, vous aurez la certitude que nous mettrons un coup d’arrêt brutal à toute cette clique qui plonge l’Europe dans la tiers-mondisation.
Thomas Petit – Membre du Conseil national du Parti de la France
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