L’acharnement politico-judiciaire se poursuit contre Alain Soral

7 Juil 2025 | Non classé | 0 commentaires

Une fois encore, Alain Soral est la cible d’un acharnement politico-judiciaire manifeste, sur fond d’accusations aussi graves que floues : « provocation au terrorisme », « apologie de terrorisme », et désormais « ingérence pro-iranienne ».

Que lui reproche-t-on, concrètement ? D’avoir relayé des contenus critiques envers Israël, d’avoir pris fait et cause pour les peuples opprimés du Proche-Orient, ou d’avoir exprimé une ligne politique souverainiste, anti-impérialiste et déplaisant à certains cercles d’influence ?

On connaît la chanson : quiconque ose critiquer l’État d’Israël est aussitôt suspecté de collusion, de radicalisme ou de menace pour la République. Pendant ce temps, des élus français participent ouvertement à des voyages, à des colloques et à des campagnes organisés par des officines étrangères, notamment israéliennes, sans jamais faire l’objet de la moindre enquête.

Il devient légitime de poser la question suivante : sommes-nous gouvernés par des députés de la République française ou par des attachés parlementaires de la Knesset ?

Comment expliquer ce deux poids deux mesures flagrant : quand Soral publie un message virulent sur Telegram, il est recherché à l’international. Quand un élu français défile sous drapeau étranger, promeut des intérêts géopolitiques qui ne sont pas ceux de la France, et s’exprime au nom d’un autre État, il est célébré par les médias.

On ne défend pas ici un homme pour ses outrances, mais un principe fondamental : l’égalité de traitement devant la loi, et la liberté d’expression – même lorsqu’elle dérange.

Ce qui se joue à travers cette affaire, c’est la criminalisation de la dissidence, le verrouillage de toute pensée politique alternative et la volonté de bâillonner les oppositions les plus résolues au système occidental atlantiste.

La justice française ferait bien de regarder d’un peu plus près certains circuits de financement, certaines fidélités troubles, certaines allégeances non assumées, dans l’hémicycle même de l’Assemblée nationale.

Le peuple français a le droit de savoir.

Qui parle en son nom ? Qui agit pour son compte ?

Et qui, au contraire, représente des intérêts qui ne sont pas les siens ?

Pierre-Nicolas Nups – Secrétaire général du Parti de la France

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