Il fut un temps où les supporters du Paris Saint-Germain étaient redoutés de tous.
Que ce soit aux abords du Parc des princes ou en déplacement en France où à l’étranger, ces redoutables bagarreurs inspiraient la crainte à tous les groupes de supporters d’Europe, de l’Angleterre à la Turquie, en passant par l’Italie et l’Espagne.
L’on pourrait certes, en défenseurs de l’ordre que nous sommes condamner cette violence, mais leurs actions étaient néanmoins codifiées, leurs cibles étaient uniquement leurs homologues des équipes adverses et les actes de vandalisme quasi-inexistants.
Puis comme malheureusement à peu près tout en France, ces authentiques nationalistes ont été petit à petit (grand)remplacés par des supporters afro-maghrébins. Si ceux-ci, par leur lâcheté, ont cessé de terroriser les supporters des clubs adverses pour s’adonner plus volontiers à la course à pied qu’aux sports de combat, il n’en demeure pas moins, comme on a pu le constater hier soir, suite à la remarquable performance de leur club qui s’est qualifié en finale de la ligue des champions, qu’ils ont gardé les mêmes habitudes que leurs congénères : agressions en bande organisée, pillages, saccage, incendies de véhicules et affrontements avec les forces de l’ordre impuissantes puisqu’obéissant aux ordres du gouvernement Bayrou.
Ces incidents viennent entacher une des rares occasions que les Parisiens ont de faire la fête, vue la calamiteuse gestion de leur commune par Anne Hidalgo et sa clique.
Et pourtant non, car curieusement, ce phénomène de tout casser, qu’on perde ou qu’on gagne, ou à n’importe quel rassemblement festif, ne se produit qu’en France.
Pour preuve, vous pourrez aller voir les festivités lors du titre de champion remporté par Liverpool, dont les supporters sont pourtant tellement craints par Darmanin.
Évidemment, même motif, même punition (ou plutôt aucune punition) : ces événements font échos à ceux qui se succèdent depuis plus de 10 ans lors des matches de l’Algérie, du Maroc ou encore de la Côte d’Ivoire ; curieuse coïncidence, non ?
Eh bien au Parti de la France nous disons que cela a assez duré, que ces violences doivent cesser et qu’il faut donner tous les moyens de répression nécessaires à la police nationale pour rétablir l’ordre lors de ce type d’incidents, qui plus est extrêmement prévisibles.
Frédéric Avalli – Délégué du PdF pour l’Île-de-France
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