Je salue la victoire du président José Antonio Kast.
La situation politique au Chili rappelle qu’un peuple attaché à l’ordre et à la liberté peut se relever du chaos idéologique et de la faillite économique.
Notre pays, lui aussi, doit se garder des dérives collectivistes et des utopies socialistes qui ont ruiné tant de nations.
L’homme d’État que j’admire le plus, ce n’est pas le Maréchal Pétain ou le Caudillo Francisco Franco, mais le général Pinochet qui sauva, en son temps, son pays de l’abomination qu’est le communisme.
La France n’est pas faite pour les expériences totalitaires.
Son peuple a besoin d’un état suffisamment libéral et respectueux des libertés essentielles tout en étant ferme vis à vis des socialistes. C’est exactement l’équilibre qu’incarnait le général Pinochet. Il n’est donc pas étonnant d’apprendre qu’il était de souche bretonne.
À ce titre, je me réjouis de ce qui se passe au Chili. Le peuple chilien vient d’élire un fidèle du Présidente Pinochet.
Ce qui se joue là-bas doit aussi résonner en France.
Notre pays n’est pas un laboratoire pour les apprentis sorciers idéologiques.
Les expériences socialistes, qu’elles se présentent sous des habits technocratiques ou moralisateurs, produisent partout les mêmes dégâts : appauvrissement, désordre, divisions, affaiblissement de l’autorité publique et recul des libertés réelles.
Nous défendons une ligne simple :
• un État ferme sur la sécurité, l’autorité, la continuité nationale ;
• un État limité qui respecte les libertés essentielles, l’initiative, la propriété et refuse l’étouffement bureaucratique ;
• un refus net des politiques socialistes qui prétendent protéger mais finissent par contraindre, contrôler et ruiner.
La leçon chilienne est claire : les peuples ne veulent pas de sermons dogmatiques. Ils veulent des résultats.
En France aussi, il est temps d’en finir avec l’idéologie et de revenir à une politique d’ordre, de responsabilité et de liberté.
Pierre-Nicolas Nups – Secrétaire général du Parti de la France




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