Quelle rigolade ! Les États-Unis ont interdit de visa Thierry Breton, caricature parfaite du technocrate euro-mondialiste, donneur de leçons et fossoyeur assumé de la liberté d’expression.
Ce commissaire zélé a passé son temps à traquer la parole libre, à menacer les plateformes et à imposer une vision bureaucratique, autoritaire et idéologisée du débat public.
Sous couvert de « régulation », Breton a surtout rêvé d’un contrôle soviétique des réseaux sociaux, parfaitement aligné sur les lubies liberticides d’Emmanuel Macron.
Les États-Unis ne veulent pas de cet ennemi déclaré du Premier Amendement sur leur sol — et ils ont raison. L’Amérique, quoi qu’on en pense, sait reconnaître ceux qui haïssent la liberté tout en prétendant la protéger.
Que Thierry Breton reste donc dans son aquarium réglementaire, loin des peuples libres qu’il méprise et qu’il voudrait faire taire.
Thomas Joly – Président du Parti de la France




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