On croyait avoir touché le fond et pourtant, Macron creuse encore. En recevant à l’Élysée le barbu syrien Ahmed al-Charaa alias Abou Mohammed al-Jolani (son nom de terroriste), ex-chef du Front al-Nosra, et ancien membre de Daesh — un ramassis de coupeurs de têtes et de violeurs de gosses — il ne signe pas un acte diplomatique : il crache à la gueule de ce qui reste de la France.
Qu’on le dise clairement : Jolani est un djihadiste. Une ordure. Le genre de type qui devrait finir pendu rien que pour l’idéologie qu’il défend et pas à l’Élysée. L’Élysée devient le bordel officiel de l’Occident décadent, où les terroristes sont reçus avec sourire et félicitations, pendant que les patriotes sont insultés, surveillés, censurés.
Macron n’est pas naïf. Il n’est pas maladroit. Il est complice. Cette poignée de main avec Jolani, c’est un doigt d’honneur à nos soldats qui ont combattu le djihadisme, aux victimes du Bataclan, aux peuples chrétiens d’Orient et à tous les Syriens qui refusent de se coucher devant l’islamisme.
Macron à décidé de fricoter avec notre pire ennemi, celui qui a fait couler du sang dans nos rues. Nous, au Parti de la France, on ne tend pas la main à ceux qui veulent vous trancher la gorge.
Bachar Al-Assad, qui faisait figure de rempart contre Daesh et autres factions islamistes en Syrie, est tombé récemment et depuis, le pays est entre les mains des djihadistes, laissant les minorités religieuses chrétiennes et alaouites à la merci de ces sauvages.
Thomas Petit – Membre du Conseil national du Parti de la France
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