Donald Trump a raison d’être agacé par Vladimir Poutine. Oui, le Tsar de Moscou, le stratège redouté, l’homme qui a tenu tête à l’empire américain pendant deux décennies, semble aujourd’hui s’enliser dans une posture stérile. Dès le 20 janvier 2025, Trump, dans un réalisme tout américain, a compris que l’heure n’était plus aux postures idéologiques, mais à la paix. Il a tendu la main, proposé un accord, remis la diplomatie au cœur du jeu. Et que voit-on ? Poutine tergiverse. Tactique ? Peut-être. Mais le monde n’a plus le luxe de ces jeux byzantins.
Pendant ce temps, les va-t-en-guerre de salon — Macron, Starmer, von der Leyen et toute la clique bruxelloise — ont été mis hors-jeu. Ils ont perdu la guerre des réalités. L’Ukraine est exsangue, son peuple sacrifié sur l’autel des rêves euro-atlantistes. Zelensky, ce comédien devenu chef d’État, est acculé. Il n’a plus d’autre choix que la table des négociations.
Dans ce contexte, l’obstination de Poutine ne fait pas honneur à la Russie, ce n’est pas seulement l’orgueil blessé d’un empire déchu qui est en jeu. Aujourd’hui, ce n’est plus en conquérant qu’elle doit parler, mais en pacificateur. Le monde attend un accord, pas une humiliation de plus.
Trump, lui, agit en homme d’État. Il veut arrêter la boucherie. Et c’est pour cela qu’il agace tant les élites occidentales : parce qu’il est en passe de réussir là où elles ont échoué.
Thomas Joly – Président du Parti de la France
la Russie n’a pas le choix elle lutte pour son existence je suis pour Poutine